Bassirou Diomaye Faye préside la première session du Conseil Supérieur d’Orientation Agrosylvopastorale et Halieutique
- Le Patriote

- 24 oct.
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Cette rencontre d’envergure nationale marque une étape déterminante dans la redéfinition des politiques agricoles, pastorales et halieutiques du pays.
Une concertation nationale pour refonder le modèle agrosylvopastoral et halieutique
Coordonnée par le Premier ministre Ousmane Sonko, avec le suivi technique du Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, Dr Mabouba Diagne, et la matérialisation assurée par le Secrétaire d’État aux Coopératives et à l’Encadrement Paysan, cette session a permis de poser les bases d’une nouvelle gouvernance agricole, tournée vers la durabilité, la transparence et l’efficacité.
Au cœur des échanges figurait la revue de la Loi d’Orientation Agrosylvopastorale et Halieutique (LOASPH), un cadre stratégique essentiel pour adapter le secteur rural sénégalais aux défis du 21ᵉ siècle.
Une réforme au service de la modernisation et de l’inclusion
La réforme de la LOASPH vise à :
moderniser l’exploitation familiale, véritable pilier de la production nationale ;
renforcer le pastoralisme, garant de la résilience des communautés rurales ;
intégrer pleinement la pêche et l’aquaculture dans la dynamique de développement rural ;
et améliorer la gouvernance du secteur par un suivi régulier des politiques et la création d’un fonds d’aide au développement.
Cette orientation traduit la vision du Président Bassirou Diomaye Faye : faire de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de la foresterie les leviers de la souveraineté alimentaire et de la prospérité rurale.
Un cap clair vers la souveraineté alimentaire durable
Le Conseil Supérieur d’Orientation Agrosylvopastorale et Halieutique s’impose désormais comme un cadre de concertation et de pilotage national permettant d’harmoniser les stratégies, d’impliquer les acteurs du monde rural et d’assurer une cohérence des politiques publiques dans les domaines agricole, pastoral, forestier et halieutique.
Cette démarche inclusive s’inscrit dans la continuité de la Vision Sénégal 2050, qui ambitionne une économie nationale autonome, verte et résiliente, où chaque territoire contribue à la croissance et au bien-être collectif.




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